Si, en trente ans, peu de textes ont modifié l'univers de la formation, la loi du 4
mai 2004, crée un droit nouveau pour le salarié : le DIF.
Avec ce droit individuel à la formation, chaque salarié peut aujourd’hui prétendre
à un départ en formation, pour suivre - presque librement - la formation de son
choix.
Si la majorité des DRH et responsables de formation des grandes entreprises
(enquête EFE/ DIF Avril 2005/ 150 entreprises de 200 salariés et plus, tous
secteurs d’activité) sont favorables à l’utilisation du DIF et prévoient de le
proposer aux salariés en 2006 ou de l’intégrer dans leur plan de formation selon
le calendrier des accords de branches ; plus des deux tiers des entreprises de
moins de 20 salariés ignorent encore l'existence de ce dispositif (enquête Agefos
PME de décembre 2004).
Si la loi n'oblige pas l'employeur à être proactif en matière de DIF, il doit malgré
tout satisfaire la demande des salariés et respecter des formalités précises :
chaque année, le salarié acquiert un droit à la formation de vingt heures, qu'il peut
capitaliser pendant six ans, soit un plafond de cent vingt heures.
Ainsi, le DIF qui a pour les PME la mission de stimuler la politique de formation et
de gestion des compétences apparaît de ce fait comme une formidable
opportunité pour évoluer dans un environnement économique compétitif.
Lors d'un Petit-Déjeuner Débat, organisé le 4/10/2005, à la Maison des TIC de Grigny (69), MétaCompétences vous apporte les réponses à ces questions :
 Qu’est ce que le DIF ?
 Qu’est ce qui change avec le DIF ?
 Quelles sont les modalités d’accès pour les salariés ?
 Quels sont les outils qui accompagnent le DIF ?
 Quels sont les chantiers prioritaires pour chaque catégorie
d’acteurs ?
Ce dispositif au service de toutes les entreprises, doit aussi bénéficier aux petites structures.

Nous vous invitons à télécharger le coupon-réponse pour participer à notre petit-déjeuner débat sur le site Métacompétences.